Friday, January 26, 2007

L'exorcisme d'émilie de Mont de Marsan (et autres péripéties de début d'année)

Après trois semaines françaises époustouflantes et caloriques entre anniversaires (à Bordeaux comme à Arcachon), Noël, nouvel an - ne citant que le tagine au citron sooo typically morrocan made by Sonia (ou plutôt généreusement réchauffé ?) ou encore le confit de canard offert permettant un réveillon de la deuxième heure - peu de chances de ne pas succomber à toutes ces tentations festives et culinaires... Et pour terminer en grandes pompes, la veille du départ, l'anniversaire prématuré d'émilie. Si le choix des cadeaux s'est montré probant (Longchamps au poignet and make-up by Sephora), l'ambition de l'hôte n'était pas moins démesurée : un buffet riche et varié accompagné d'une quinzaine de litres de punch pour diluer tout ça. Les rois sont fêtés par la même occasion, couronnant de grâce deux couples : Martin et la p'tite marie, ainsi que Clothilde et moi-même. Les dernières heures de la soirée se résumeront avec une transformation de l'appart en dancefloor infernal. Et enfin les derniers se retrouvent en bas de l'immeuble pour se lamenter autour d'un enjoliveur envolé et se faire engueulé par le gardien insomniaque et jeunophobe. Quelques heures de sommeil symboliques, un ménage éclair, la p'tite Marie sur la rocade, un backpacking furtif et un chiken premiere ---> En route pour l'aéroport en compagnie de Dany et des marais, qui se tâtent pour un sandwich. Plus que quelques heures avant de retrouver le mode de vie anglais accompagné de Charlotte et Pierre-antoine, compagnons de voyages et de galère à Birmingham. Qui est le mystérieux nouveau colocataire a propos duquel certaines informations nous ont été divulguées durant les vacances...

Wednesday, January 10, 2007

"In Barb we trust"

Regardez la droit dans les yeux où ailleurs si l'envie vous prend, elle ne mettra pas longtemps à vous mettre au tapis. En effet, il est venu le temps où Boucle d'Or s'affranchie de maman et papa ours pour devenir une héroïne sexy des temps modernes. Moulée dans du cuir, enfourchant sa bécane bruyante, elle défend la veuve et l'orphelin tout en traquant des identités rétiniennes, si convoitées en ces temps de conflits apocalyptiques. Finalement, Barb Wire, c'est un peu comme la grande soeur qu'on a tous rêvé d'avoir : extravertie et de bonne famille à la fois. Tout comme les Marais - critiques cinéma et chroniqueurs mondains - je m'incline devant la grâce de cette icône peroxydée, à la gâchette facile certes, mais à la générosité d'un 95 C.